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Récemment, dans l’article bilan 2024, on a pu lire des commentaires de lecteurs qui trouvaient qu’on ne faisait plus que des vêtements “forts” et moins de “basiques” qu’avant, plus accessibles en termes de design.
À ces personnes-là, je veux leur dire qu’on vous a entendu et qu’on ne vous a pas oublié ! Car ces vêtements que vous avez aimé chez Bonnegueule sont toujours bien là.
J’ai beaucoup pensé à vos commentaires (et j’y ai même répondu) dans les jours qui ont suivi, et cela m’a amené à une réflexion que je voulais partager avec vous. Ou plutôt, un débat vieux comme le monde quand on est une marque…
Un équilibre entre identité et évolution
Une marque, si elle fait toujours la même chose, elle finit par ennuyer. Si elle oublie qui elle est, elle se perd. Il y a donc une voie, un équilibre à trouver :
- d’un côté, rester fidèle à ce qu’on fait de mieux depuis 10 ans,
- de l’autre, se permettre des pas de côté, des silhouettes différentes, des matières nouvelles, des prises de risque.
Si je vais plus loin dans la réflexion, je ne considère pas vraiment une marque comme une machine (même bien huilée). Je la compare plutôt à un être vivant :
- qui doit avoir des fonctions vitales qui ne bougent pas, fiables et constantes. Ce sont les essentiels de notre collection, des pièces faciles à porter, mais toujours avec ce “petit truc en plus” qui nous caractérise et que vous aimez,
- mais qui doit aussi avoir des parties qui grandissent et qui évoluent pour s’adapter à son environnement. Ce sont des pièces où on essaie de nouvelles choses.
Et depuis le début de Bonnegueule, je pense que nous vous avons toujours proposé un “fond de catalogue” solide, avec des jeans et des chinos à la coupe pas spécialement ample, des costumes plutôt ajustés ou des pulls avec un fit classique.

Dit autrement, nous n’avons pas arrêté les fondamentaux, loin de là, mais comme on les met moins en lumière, certains croient qu’ils ont disparu.
Alors que… pas du tout !
Bref, on n’a jamais arrêté. Mais on les a moins montrés, je vous le concède volontiers.
C’est notre base, on la garde et on la nourrit. Et à partir d’elle, on explore.
Et avec ce lancement, on veut vous montrer à quel point ces essentiels de collection sont notre base.
Benoît
Le t-shirt Miami : pour la fraîcheur et la texture (par Benoît)
Après une première itération en 2016 (le t-shirt Milan) et une seconde en 2021 (le t-shirt Cuba), mais qui est de retour ? Notre t-shirt coton-lin !
Parlons de la coupe : c’est une coupe classique pour un t-shirt, “normalement” près du corps, sans excès, ni trop fitté, ni trop large.
Si on compare le Miami à notre t-shirt Oregon, le Miami est plus ajusté.
Au niveau des détails, vous trouverez :
- Un col avec un tricot en rib dans le même fil que le t-shirt. L'intérêt d'avoir un col légèrement côtelé et resserré comme ça est qu'il va bien plaquer votre cou, sans se déformer,
- Des fentes sur le côté. En plus d'être un détail esthétique que j'apprécie, elles vous permettent aussi d'avoir plus de confort au niveau des hanches.

A l’instar de notre précédent t-shirt Cuba, le Miami a pour but d’être un essentiel pour vos saisons printemps/été qu’on prend sans réfléchir, à porter tel quel ou en-dessous d’une chemise en denim (comme une western shirt par exemple).
Le jersey de ce t-shirt est un 50% lin 50% coton tricoté au Portugal, tout comme sa fabrication.
On a voulu le meilleur des deux mondes :
- la respirabilité et la texture si unique du lin,
- et la stabilité, la douceur et la tenue du coton.

Nous avons donc choisi pour vous trois coloris pastels :
- du sauge, une couleur que j’adore, proche de l’olive,
- un bleu ciel qui évoque un bord de mer,
- et un écru (donc pas tout à fait blanc) que la texture du lin rend très organique,
A porter donc pour vos prochaines vacances, et tous les jours avant !
La Volpaia : deux chemises blanches habillées pas comme les autres (par Benoît)
On commence enfin à avoir une gamme étendue de chemises blanches, qui sont la brique fondamentale d'un style tailleur. On peut difficilement passer à côté quand on porte un costume, je pense que je ne surprends personne avec cette affirmation.
Mais vous nous connaissez, on aime assez peu les tissus plats chez Bonnegueule et il fallait donc non pas une, mais deux références de tissus blancs avec de la texture !
Une chemise habillée 100 % lin
On commence avec notre chemise 100 % lin, une référence que j'attendais depuis longtemps, parfaite pour les mariages estivaux par exemple, mais pas seulement ! De manière plus décontractée, portez-la ouverte, manches retroussées, sur un t-shirt, avec un chino et des sneakers ou des espadrilles par exemple.
Il s'agit d'un lin français, filé en Lituanie (malheureusement, il n'y a plus vraiment de filateurs de lin en France) et tissé au Portugal par Somelos.
Le tissu final est donc un beau lin qui va vivre avec vous, qui vous accompagnera dans vos aventures ensoleillées tout en vous permettant d'être très élégant.
En plus de sa fraîcheur, le grain a un autre pouvoir : son grain naturel. La structure de sa fibre est plus irrégulière que celle du coton, ce qui se retranscrit dans la matière une fois tissée. Ces aspérités sont très visibles sur l’étoffe que nous avons choisie : vous y verrez de nombreuses petites stries, disposées de manière irrégulière dans la matière, qui lui confère une texture flammé discrète mais pourtant remarquable.

Je ne devrais pas vous le dire, mais le lin est nettement plus coûteux que le coton. Nous avons donc fait un vrai effort sur le prix, car c'était important pour nous de rendre plus accessible cette fantastique fibre estivale qu'est le lin.
Poursuivons avec notre deuxième chemise blanche…
Une chemise blanche en coton texturé
Les plus anciens s'en souviennent : notre toute première chemise blanche sortie en 2014 était déjà texturée et notre nouvelle chemise, 11 ans plus tard, lui rend hommage.
Il s'agit d'un tissu texturé du tisseur portugais Vilarinho 100 % coton dit « nid d'abeille », avec un aspect à la fois tactile et visuel, qui habille instantanément une tenue aussi simple qu'une chemise blanche et un blazer bleu.
Vous allez voir, le tissage est assez « compact », c'est donc un tissu qui a une très belle tenue et qui est durable dans le temps.

D'un point de vue technique, il s'agit d'un tissage piqué caractérisé par une construction double : il y a un premier tissage à l’arrière de la chemise qui va créer la “couche de fond” (visible si vous la regardez de l’intérieur) et un second tissage sur l’extérieur avec des fils placés de telle manière à créer ce motif alvéolé à la surface.
Il a un aspect habillé qui est clairement destiné aux mariages, mais n'hésitez pas à porter cette chemise avec une veste en lin par exemple, pour y faire un joli contraste. Et n'oubliez pas, la chemise blanche, c'est exactement comme une toile blanche qui va 1) éclairer votre tenue et 2) mettre en avant les couleurs et textures de vos autres vêtements.
Les finitions qui m'obsèdent
Je suis également fier des finitions de nos chemises :
- les boutons en nacre « rivershell », du fournisseur français Corne et Corozo qui sont bien épais, ce qui est vraiment une finition haut de gamme à mes yeux. Ils sont donc plus résistants, et avec un vrai visuel qui vient tout droit du luxe. Ils sont montés avec une finition dite « Ascolite » qui permet de drastiquement diminuer le risque de chute.
- les coutures anglaises : ce sont les coutures latérales de nos chemises Volpaia, qui sont très fines et élégantes, là où la plupart des chemises du marché ont une couture double aiguille assez basique et plus épaisse. C'est une finition qui vient également du monde du luxe, mais j'adore ce détail discret mais si révélateur.
- et d'autres petits détails encore, que je vous laisse découvrir dans les pages produit pour la chemise en lin et pour la chemise en nid d'abeille.


Le chino Ivy : votre nouvel essentiel, à la coupe revisitée (par David)
Oui, notre nouveau chino classique à coupe ajustée est arrivé.

Le Ivy a vocation à prendre la place du chino Axel, dont la première itération est sortie en 2016 (comme le temps passe vite, vous ne trouvez pas ?).
Je ne vais pas vous refaire l’histoire du chino, mais si elle vous intéresse, je laisse Jordan prendre le relais.
Je ne vais pas non plus passer trop de temps à vous dire que ce vêtement est devenu un pilier de la garde-robe masculine ou à quel point il peut se porter partout et tout le temps, dans un contexte urbain.
Rentrons dans le cœur du sujet : la principale différence entre le Axel et le Ivy est la coupe. Nous avons conservé l’idée d’une coupe légèrement ajustée que nous avons modernisée pour la rendre plus confortable et adaptée à ce qui se fait désormais.
Comme l'évoque Benoît en introduction : avec cette nouvelle coupe, on avance (on ne reste pas statique et bloqué dans le passé), mais on reste fidèle à qui on est, à ce que ce vêtement représente.

Le Ivy a une ouverture de jambe d’environ 19cm là où le Axel est plutôt autour de 16.5 / 17cm. La cuisse est aussi un poil plus large (environ +1.5cm) et la hauteur de fourche plus généreuse (environ +3cm).
Résultat : le Ivy se pose plus naturellement sur les hanches et s’éloigne un peu de la jambe tout en vous dessinant une belle silhouette.
Voilà ce qui est pour nous le bon compromis d’une coupe ajustée moderne.

Pour le reste, on a gardé l’essence du chino Axel en choisissant un twill de coton légèrement stretch (3% d’élasthanne), doux et confortable, de poids intermédiaire (245g/m2), à porter toute l’année.

Après de nombreuses recherches, c’est chez Folgarolas, un tisseur espagnol installé en Catalogne depuis plus de 70 ans, que nous avons déniché l'étoffe qu'il fallait pour ce chino. Nous apprécions leur savoir-faire verticalement intégré — de la sélection du fil, à la filature en passant par le tissage — ainsi que par leur démarche de travailler avec des fournisseurs en circuit court. Le coton provient de Turquie, puis les opérations de filage, tissage et teinture sont réalisées en Espagne. Le tissu est enfin envoyé dans notre atelier au Portugal pour la confection.

Dernier point important : malgré le contexte que vous connaissez avec de nombreuses hausses de prix dans notre secteur, il nous tenait à cœur de vous proposer ce pantalon essentiel à un prix contenu, le même que le chino Axel, soit 105€ .
Proposé dans les trois coloris indispensables que sont le beige, le kaki et le marine, nous avons conçu le Ivy comme le pantalon facile par excellence , avec une coupe ajustée mais pas trop, que l’on enfile le matin sans même y penser.
Le short York : l’indispensable de l’été (par David)
Dans le prolongement du chino Ivy, nous avons utilisé la même matière et la même base au niveau de la coupe pour vous proposer une version short à porter par temps chaud.
On garde donc le twill de coton stretch pour le confort, avec une coupe ajustée qui met en valeur votre silhouette.
Le York vous accompagne tout l’été , aussi bien pour vous balader en ville que pour flâner au bord de l’eau.
Le short York arrive en stock tout prochainement.
Les sneakers Nazare : la fraîcheur jusqu’au bout des orteils (par David)
Sorties initialement en 2022, vous appréciez nos sneakers Nazare. Alors pour vous remercier, on a décidé de vous les proposer cette année dans pas moins de 4 coloris, disponibles en quantités limitées :
- Un coloris naturel, au sens strict puisqu’il est non teint. Ces Nazare se portent comme des sneakers blanches mais leur coloris plus doux leur permet de s’insérer de manière plus subtile dans vos tenues, sans créer de contraste trop fort.
- Un indigo profond et lumineux à la fois, qui s’associe facilement dans votre garde-robe et dont la teinte me fait penser aux sneakers de la navy italienne.
- Un audacieux rose, qu’on n’a pas l’habitude de voir sur des sneakers. Plus précisément c’est une teinte rose légèrement passée, l’idée n’étant pas d’aller sur un rose bonbon trop premier degré et flashy. Cette couleur ajoute un éclat inattendu à vos tenues et se marie aussi bien avec du blanc, de l’écru, du beige, du vert olive, du bleu marine voire même du noir. Bref, essayez des combinaisons et vous verrez que le résultat est souvent intéressant, plus que ce qu’on pourrait penser de prime abord.
- Et enfin, un kaki très organique, à porter aussi bien dans un style casual chic que légèrement workwear.




Ces sneakers ont tout pour elles (et pour vous) puisqu’elles sont :
- Faciles à porter durant toute la belle saison (et même en automne) grâce à leur forme épurée,
- Durables grâce à leur semelle extérieure solidement collée et cousue à la tige (là où la grande majorité des sneakers en toile sont seulement collées). Cette semelle est d’ailleurs toujours recouverte de liège, un matériau résistant et hypoallergénique,
- Confortables grâce à leur semelle interne moelleuse à mémoire de forme qui vient délicatement épouser votre voûte plantaire,
- Respirantes grâce à leur tissu 100% lin (là où la grande majorité des sneakers en toile sont plutôt en coton).

Eh oui, des sneakers en lin s’imposent comme une évidence pour les beaux jours : c’est une matière très respirante, thermorégulante, aux propriétés anti-odeurs et aussi particulièrement robuste .
Cette toile présente aussi une sacrée texture grâce à son tissage serré en canvas qui révèle les impuretés naturelles de sa fibre.
Enfin, le lin est une fibre aux vertus écologiques : il consomme peu d'eau, génère peu de déchets et a un impact carbone limité, d’autant plus quand il est travaillé dans les règles de l’art.

Alors que le lin se cultive et surtout se tisse beaucoup en Asie, nous avons choisi de travailler avec le tisseur belge Libeco, certifié Masters of Linen qui garantit une traçabilité 100% européenne : le lin est cultivé en France et en Belgique, filé en Pologne (on ne file pas le lin en France actuellement, malheureusement), tissé en Belgique, puis assemblé dans notre atelier de confiance, au Portugal.
Entreprise familiale fondée en 1858, Libeco travaille exclusivement le lin et il est, au fil des années, devenu l’un des principaux producteurs de lin en Europe.

Je l'ai évoqué quelques paragraphes plus haut mais je me permets d'en remettre une couche ici : les quantités sont limitées sur les sneakers Nazare. Si un coloris vous plaît, ne tardez pas trop. :)
La ceinture tressée Anzio : l’alternative sous-estimée (par David)
J’aime les ceintures. Je leur ai même consacré un article complet en 2021 où j’en parlais comme d’une obsession. Et c’est toujours le cas.
Quand on parle de cet accessoire, on pense souvent à la ceinture classique en cuir, qui peut avoir une forme classique ou plus originale (par exemple avec la ceinture western). Chez Bonnegueule, on pense aussi à la ceinture à boucle Cobra, chère à Benoît.
Mais on pense plus rarement à la ceinture tressée, qu’on a un peu tendance à oublier.
Pourtant, elle présente bien des avantages :
- Elle est à la fois élégante (quand elle est confectionnée en cuir) mais aussi décontractée par son tressage qui lui donne du relief. C’est une vraie ceinture casual chic qui s’associe bien avec des chaussures plus décontractées comme des sneakers, des bateaux voire des sandales en cuir pour les beaux jours.
- Sa nature même vous donne une grande liberté d’ajustement : vous pouvez fermer cette ceinture où vous voulez, au centimètre près. Une ceinture tressée vous ira toujours parfaitement, quel que soit le pantalon que vous mettez, et même en cas de variation de poids.

Nous vous proposons donc la ceinture tressée Anzio, avec une épaisseur intermédiaire de 3.2cm, dans 2 coloris : un marron chaleureux couteau-suisse qui s’associe avec tout, et un noir discret pour vos tenues plus sombres, avec des chaussures noires, ou alors en contraste avec une tenue aux teintes plus claires.
Pour le cuir, nous sommes allés chez l’italien Domodossola, qui a la particularité d’être un spécialiste du cuir tressé. En fait, l’activité historique de l’entreprise à sa création en 1913 consistait principalement à produire des cordes pour les navires.

Entreprise familiale depuis maintenant 4 générations, l’activité s’est ensuite diversifiée et modernisée pour produire aujourd'hui du cuir tressé.
Il est à noter que Domodossola est le premier à parvenir à industrialiser la confection de la ceinture tressée en cuir, là où elle était auparavant uniquement réalisée à la main.

Les chaussettes Romeo : un savoir-faire tricolore à l'honneur (par David)
Cela faisait quelques temps qu’on ne vous avait pas proposé de nouvelles chaussettes.
En plus d’être purement fonctionnelles, leur choix peuvent vraiment bonifier ou ruiner une tenue. Alors pour finir les votres de la bonne manière, voici les Romeo.
Confectionnées en France dans un tricot côtelé gonflant , légèrement en relief, elles sont proposées dans 3 coloris lumineux :
- Un écru que je vous conseille de porter avec des mocassins pour apporter une touche Ivy à vos tenues. Sinon, elles s’intègrent naturellement avec un pantalon clair ou, plus simple encore, vos sneakers blanches préférées,
- Un coyote , à porter avec nos mocassins Wembley tabac ainsi qu’avec tout pantalon ou chaussures dans des tons beiges et marron,
- Un vert péchu que je vois bien en contraste avec un pantalon bleu, blanc ou beige.
Les Romeo sont pensées pour pouvoir être portées toute l’année : elles sont en 90% coton pour la douceur, 9% polyamide pour la résistance et 1% élasthanne pour que le bord-côte supérieur vous plaque bien le mollet, sans retomber au cours de la journée.

Plus que sa composition, il y a des choses à dire sur le fil de ces chaussettes : il est obtenu en retordant 4 brins de fil très fins pour en créer un nouveau plus épais, robuste et très doux.
Les chaussettes sont ensuite tricotées sur des machines spéciales dites à double cylindre qui, contrairement aux habituelles machines à simple cylindre, comportent deux rangées d’aiguilles.

Cette technique de tricotage date des années 1900 et a été délaissée au milieu du XXème siècle avec l’industrialisation de la confection textile mais connaît depuis quelques années un regain de popularité en raison de sa qualité.
Cette fabrication assure un maillage résistant, dense et régulier, mais aussi un tricotage très net et élégant sur les bords.
Comme évoqué plus haut : ces chaussettes sont fabriquées en France, dans une usine familiale implantée au cœur d’un petit village dans le Limousin, par la Maison Broussaud.

Créée en 1938, c’est actuellement la troisième génération de la famille qui opère l’entreprise. Acteur historique de la confection française, l’entreprise est certifiée EPV (Entreprise du Patrimoine Vivant) . Si vous nous suivez depuis quelques temps, vous reconnaissez peut-être ce label dont nous vous avons déjà parlé, qui distingue les entreprises françaises aux savoir-faire rares et d’exception.

One more thing : notre débardeur Halles est de retour ! (par David)
Notre débardeur Halles vous a plu, puisqu’il a été rapidement épuisé l’année dernière.

Et c’est une nouvelle qui me ravit car, après l’avoir ignoré pendant des années, j’ai désormais pleinement adopté cette pièce :
- Plus frais qu’un t-shirt : au niveau des aisselles, ça change vraiment la donne, croyez-moi
- Très intéressant à utiliser en layering sous une chemise(tte), un cardigan ou un blazer (oui, j’aime cette association) grâce à son col légèrement échancré
Bref : le Halles est désormais de retour en stock, toujours avec son tricot ajouré qui évacue efficacement la chaleur et qui le distingue des modèles classiques en rib.

Si vous avez besoin de conseils pour bien bien porter un débardeur blanc, on a un article qui montre pas à pas comment le faire. On vous a raconté l’histoire du débardeur aussi, dans un autre article. Oui, c’est un vêtement français. Oui, il y a bien un certain Marcel qui se cache quelque part :